Les libertés d’expression, d’opinion, de presse sont garanties par la loi fondamentale du Mali et les instruments juridiques internationaux pertinents auxquels le pays a souscrit.
Les personnes physiques et morales coupables d’infractions aux règles de déontologie et de professionnalisme peuvent être l’objet de poursuites judiciaires.
En revanche, les populations ne devraient pas être privées de la jouissance du droit fondamental à l’information.
Nul n’est à l’abri de la violation de ses droits.

La protection des droits de l’Homme est une responsabilité partagée.